Synarchie financière et dérives fascistes 1ère partie

Publié le par Adriana Evangelizt

Synarchie financière et dérives fascistes

1ère partie

« Le jour viendra […] et peut-être bientôt où il sera possible de faire la lumière sur les intrigues menées chez nous de 1933 à 1939 en faveur de l’Axe Rome-Berlin pour lui livrer la domination de l’Europe en détruisant de nos propres mains tout l’édifice de nos alliances et de nos amitiés. Les responsabilités des militaires français ne peuvent se séparer sur ce point de celles des politiciens comme Laval, des journalistes comme Brinon, des hommes d’affaires comme ceux du Creusot, des hommes de main comme les agitateurs du 6 février, mais si elles ne sont pas les seules elles n’en apparaissent que comme plus dangereuses et plus coupables pour s’être laissé entraîner dans ce vaste ensemble. »

Marc Bloch, avril 1944

Synarchisme : une brève définition

par Lyndon Larouche

« Synarchisme » est le nom adopté au XXème siècle par une secte franc-maçonne occulte, connue sous nom de Martinistes et reposant sur le culte de la tradition de l’empereur Napoléon Bonaparte. Entre les années 1920 et 1945, il a été officiellement classé par les services de renseignement américains et d’autres pays dans la rubrique « Synarchisme : nazi-communisme » défini ainsi car il a déployé simultanément, en apparence, aussi bien des forces d’opposition pro-communistes que des forces d’extrême-droite pour encercler et cibler certains gouvernements. Les mouvements fascistes du XXème siècle et ultérieurs, comme la plupart des mouvements terroristes, sont tous des créations synarchistes.

Au cours de cette période, le synarchisme a été l’aspect central des gouvernements fascistes d’Italie, d’Allemagne, d’Espagne et de Vichy et Laval en France, et, à travers la branche espagnole du Parti nazi, il s’est également répandu au Mexique, en Amérique centrale et du Sud. Le parti mexicain PAN est né comme une excroissance de cette infiltration. Il constitue aujourd’hui la caractéristique des adeptes de Leo Strauss et d’Alexandre Kojève.

On retrouve cette conspiration franc-maçonne occulte dans des factions se revendiquant de gauche comme d’extrême-droite, tels le conseil de la rédaction du Wall Street Journal, la Société du Mont-Pélerin, l’American Enterprise Institute et l’Hudson Institute, ainsi que dans ce que l’on appelle les intégristes conservateurs au sein du clergé catholique. L’autorité sous-jacente derrière ces cultes est un réseau contemporain de banques privées ayant adopté le modèle vénitien médiéval connu sous le nom « fondi ». La conspiration de la synarchiste Banque Worms pendant la guerre de 1940 est typique du rôle joué par ces intérêts bancaires derrière les divers gouvernements fascistes de l’époque.

En fait, au départ, les synarchistes sont issus des cercles les plus proches de Napoléon Bonaparte ; des officiers vétérans des campagnes napoléoniennes ont répandu ces pratiques cultistes à travers le monde. G.W.F. Hegel, un admirateur passionné de l’image impériale de Bonaparte, fut le premier à établir une doctrine historique fasciste de l’Etat. En complément, les écrits de Nietzsche ont fourni la doctrine de la terreur dionysiaque, créée par l’homme-bête, des mouvements et régimes fascistes du XXème siècle. Les principaux idéologues fascistes des milieux universitaires d’après-guerre sont Leo Strauss, de l’université de Chicago, qui est l’inspirateur des idéologues néoconservateurs américains actuels, et Alexandre Kojève, un philosophe parisien partageant les idées de Strauss.

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Culture des générations à naître contre tradition synarchique

par Jacques Cheminade

Ce document n’est ni une étude académique, ni la dénonciation impuissante d’une force objectivement invincible. Il aide au contraire à voir les choses en face à définir une stratégie de combat, afin de vaincre un ennemi surtout fort de nos faiblesses.

Il s’agit donc d’un appel à ne pas avoir peur, car s’il faut pas masquer le mal qui rend malade le monde actuel, c’est à condition d’offrir un remède - efficace et ayant fait ses preuves - à la maladie.

La synarchie, idéologique et financière, est une réalité historique. Nous en décrivons ici les origines les phases. En leur temps, Franklin Delano Roosevelt et Charles de Gaulle lui portèrent des coups décisifs. Contre un ordre de prédateurs et une conception pessimiste de l’homme suivant laquelle guerre et le conflit sont les états naturels de son existence, ils jetèrent, chacun de leur côté et malgré leurs différences, les bases d’une économie au service ce qui est humain en l’homme, sa capacité de créer, de connaître, de comprendre et d’exprimer ses découvertes de principes agissant sur la nature sous forme de technologies nouvelles, plus productives par tête et par unité de surface.

Le New Deal, le Victory Program, puis le plan pour un Global New Deal de Roosevelt, ainsi que le combat de la France libre, le programme du Conseil national de la Résistance du 15 avril 1944 et la planification indicative française, d’ailleurs inspirée l’élan rooseveltien, sont autant de références pour aujourd’hui. Il ne s’agit en aucun cas d’un retour en arrière, mais d’un modèle inspirateur pour combattre l’ordre néo-libéral et mondialiste actuel qui, lui, est bel et bien un retour en arrière vers le pillage financier le féodalisme.

C’est dans ce contexte, sachant que nos propositions pour un nouveau Bretton Woods et un Pont terrestre eurasiatique sont les portes de sortie d’un système condamné, qu’il nous faut jauger la synarchie et sa stratégie de tension.

Elle n’apparaîtra pas ainsi comme une fatalité de l’histoire, mais comme un mal qui s’est répandu grâce à la complicité et la soumission des dirigeants politiques, et à la passivité de populations abêties et avilies par des médias devenus de plus en plus semblables aux « divertissements » qu’offrait Goebbels à l’Allemagne nazie pendant les années de guerre.

En France, comme d’ailleurs en Suisse romande, nous avons déjà été aux premières loges.

C’est en France que l’idéologie de Louis-Claude de Saint Martin (1743-1803), de Joseph de Maistre (1753-1821), de Saint-Yves d’Alveydre (1842-1909) et de bien d’autres encore se développa et s’étendit. Elle justifie le pouvoir des hommes d’autorité dans une vision contre-révolutionnaire de l’histoire, au nom de « toutes les traditions » et de l’ordre social contre le changement et le progrès.

Promouvant le caractère destructeur de la Révolution française (ce « mal nécessaire voulu par la Providence », selon de Maistre) et le bonapartisme, afin d’éteindre le flambeau de la Révolution américaine en Europe et mener la France au désastre, elle triompha avec le Congrès de Vienne et la Sainte-Alliance. La carrière de Talleyrand est exemplaire de cette omelette synarchique, toujours du côté de qui tient la poêle et se retournant entre deux changements de régime. A la fin du XIXe siècle, la synarchie promut à nouveau un état de guerre en Europe pour prévenir une révolution industrielle et sociale. Comme elle avait reçu, à la fin du XVIIIe siècle, l’appui de Lord Shelburne, elle reçut à partir de 1890 celui d’Edouard VII, la stratégie britannique étant de diviser pour régner en jetant les Etats européens les uns contre les autres. Après 1918, elle prit une forme beaucoup plus active : son objectif était de réaliser une « révolution par le haut » empêcher à la fois le « socialisme soviétique » et une « américanisation de la vie politique ».

La synarchie, encadrée par des forces financières oligarchiques, visa ainsi à exercer son influence sur le pouvoir en ayant pour plan d’instaurer une économie administrée, par laquelle la bureaucratie d’Etat servirait ses intérêts, et de combattre tout exécutif fort ou système parlementaire relativement indépendant, au besoin en pratiquant une politique du pire.

Cette politique du pire s’est appelée Mussolini, Hitler ou Antonescu et elle a conduit la synarchie à organiser et tirer profit de la débâcle de la France, en mai-juin 1940.

C’est la manière dont cette débâcle a été alors « gérée » qui permet aujourd’hui de comprendre le mieux comment, de manière semblable, les attentats du 11 septembre 2001 ont été exploités par les néo-conservateurs américains. Même « aveuglement » face au péril, et une fois les conséquences de celui-ci arrivées, même exploitation de l’événement pour instaurer une contre-révolution liberticide.

Comités, revues et cénacles combattirent sans relâche le régime républicain en France entre 1918 et 1940. Comme ailleurs, leur but était de mettre en échec l’Etat de droit, en le remplaçant par un Etat défenseur des traditions et revenant aux corporatismes féodaux. L’objectif était de réunifier l’Europe, d’abord contre l’URSS, puis contre les Etats-Unis, afin de détruire les deux formes principales d’opposition à la « tradition ». Si on les relit, telle ou telle conférence prononcée, dans le Paris occupé, par certains idéologues, de Marcel Déat à Alphonse de Chateaubriant, ou bien les séries de voyages de Louis Rougier entre Paris et Londres en 1940-1941, éclairent cette stratégie : unir l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, la France et la Grande-Bretagne dans le but d’éliminer d’abord le régime soviétique et surtout, ensuite, l’ordre républicain américain.

Roosevelt représenta alors une force qu’ils ne purent circonvenir, Churchill se rallia à Roosevelt pour un temps, car il n’entendait pas que l’empire anglais parlât allemand, bien que ses penchants synarchiques aient toujours été le guide de son action, et l’Armée rouge, assistée par Roosevelt, constitua une force dont Hitler ne put venir à bout. Ainsi, les Alliés remportèrent la guerre et le monde échappa à l’horreur nazie.

Cependant, très vite, dès le 6 juin 1944 et la mort de Roosevelt, la synarchie revint en force. Sur le continent européen, JJ. McCloy et William Draper, loin de démanteler les réseaux nazis, les réorganisèrent sous contrôle anglo-américain. Les frères Dulles, Allen et John Foster, avec la collaboration de Hjalmar Schacht, recyclèrent l’empire SS dans leurs services et les secteurs économiques qu’ils dominaient. Henry et Clair Both Luce réorientèrent, à travers leur empire de presse, toute la politique américaine dans un sens anti-soviétique et en faveur d’une conception de la « libre entreprise » (manière courtoise de baptiser la loi du plus fort), diamétralement opposée au volontarisme républicain de l’administration Roosevelt.

A partir du milieu des années soixante, après l’assassinat des frères Kennedy et de Martin Luther King aux Etats-Unis, l’élimination en Europe de Konrad Adenauer et de Charles de Gaulle, le recul d’un tiers-monde gangrené et l’affaissement du système soviétique, la synarchie devint hégémonique à Londres et à Washington.

Aujourd’hui, elle parle anglais, avec pour projet un ordre mondial anglophone (Grande-Bretagne, Etats-Unis, Canada, Nouvelle-Zélande, Australie) se substituant à la base européenne conçue dans les années vingt, trente et quarante. En ce sens, le vice-président Cheney, sa femme Lynne et sa fille Elizabeth, avec leur écurie de néo-conservateurs, sont les héritiers - à travers les oeuvres de Léo Strauss, Alan Bloom et, à un niveau inférieur, William Buckley - et les continuateurs des fascistes des années vingt, trente et quarante, cette fois à l’échelle du monde. C’est ce que l’idéologue Michael Ledeen appelle un « fascisme universel », reposant sur la puissance de banques devenues des casinos dotés de puissants services de sécurité, de médias de masse avec leurs techniques de manipulation et des appareils d’Etat pénétrés par leurs partisans. Le but ultime, reprenant les rêves d’un Kojève ou d’un Strauss, est de constituer un empire universel à l’exemple de l’Empire romain. Le 11 septembre 2001 fut leur incendie du Reichstag, relançant l’idée d’une stratégie de guerre préventive contre les « Etats voyous » et le terrorisme, le rêve d’une domination mondiale et le règne du mensonge. La guerre contre l’Irak, en ce sens, est pour eux un galop d’essai.

A ceux qui douteraient d’un tel projet, il convient de rappeler ce qui arriva dans la France des années trente et quarante. Face à une IIIe République, certes faible mais dont ils ne parvenaient pas à se débarrasser, comme le cadavre d’Amédée dans la pièce de Ionesco, les synarchistes d’alors organisèrent la défaite de leur propre pays, espérant pouvoir négocier après la défaite, sinon avec Hitler, du moins avec leurs alliés qui encadraient le dictateur nazi.

Que l’on se rappelle l’exclamation de Jean Coutrot, dans l’Oeuvre de Marcel Déat : « Enfin des pouvoirs, enfin des responsabilités ». La Révolution nationale du maréchal Pétain fut l’occasion que saisirent les synarchiques « traditionalistes » de Vichy, la « divine surprise » - comme la Révolution française le fut pour de Maistre. L’ouvrage d’André Ulmann et Henri Azeau, Synarchie et pouvoir (Julliard, 1968), donne un assez bon tableau de cette époque. Nous rappellerons seulement ici, de sources que nous tenons également de Marie-Madeleine Fourcade, que le Vème Bureau de l’Armée, avant la guerre, avait une copie complète du plan d’attaque allemand par la Belgique et la trouée de Sedan, dont l’authenticité ne faisait aucun doute. Deux civils, Bouthillier et Baudouin, plus tard cerveaux synarchistes de Vichy, jugèrent alors que l’information « manquait d’intérêt » et il n’en fut tenu aucun compte. Mieux encore, Philippe Pétain, ministre de la Guerre après 1934, visita la trouée de 44 kilomètres dans notre système de fortification entre Montmédy et Sedan. L’endroit le plus vulnérable de notre dispositif n’était alors pas aménagé ! Pétain jugea que « ce secteur n’est pas dangereux… A partir de Montmédy, il y a la forêt des Ardennes… Elles sont impénétrables ». Et rien ne fut fait, permettant aux tanks de Gudérian de réussir leur offensive de mai-juin 1940 ! Aveuglement plus ou moins volontaire ou trahison absolue ?

C’est la même question que l’on peut se poser aujourd’hui sur les attentats du 11 septembre 2001 et que Lyndon LaRouche posa dès le départ. En 1940 comme aujourd’hui, notre réponse nous porte plutôt à dire trahison, c’est-à-dire complicité assurée de l’intérieur même du dispositif. L’on sait ce que Philippe Pétain devint par la suite. On connaît moins deux autres faits. Le premier est qu’auprès du Vème Bureau, dont les agents en Allemagne étaient d’une grande compétence, une organisation, installée dans l’armée et les cabinets ministériels, filtrait ou arrêtait les renseignements complémentaires recueillis sur le plan de guerre allemand ! Paradoxalement, ce n’est qu’en 1936, sous le gouvernement du Front populaire, qu’eut lieu le réel démarrage de la production française d’armements et d’aviation.

L’aviation nazie était-elle donc si supérieure en 1939-1940 ? C’est le second « fait ». Un avion produit par la société Dewoitine, le Dewoitine 520, était alors le meilleur avion du monde. Cependant, sa production fut systématiquement entravée. Par exemple, le 14 juin 1939, le contrôleur financier de la société en fit bloquer les comptes et paralysa temporairement la production, sous prétexte de doutes concernant rémunération d’Emile Dewoitine. Le conflit rebondit en 1940 ! Quoi qu’il en soit, lorsque, le 9 juin 1940, capitaine Stehlin, devenu commandant du groupe de chasse III/6, se rendit à l’usine Dewoitine à Toulouse pour y chercher les douze premiers Dewoitine 520 de son groupe, il y trouva des dizaines d’avions disponibles, non attribués…

Le comportement ultérieur, en 1940-1943, de ceux qui s’avérèrent si piètres gestionnaires de l’effort de guerre français, et leur promotion sous la France de Vichy, prouvent largement les suspicions que l’on peut éprouver à leur égard. Nous avons donc un exemple d’un passé relativement récent et particulièrement parlant, qui nous éclaire sur le monde d’aujourd’hui.

Il est clair que dans la guerre contre l’Irak, comme chez nous en 1938-1940, les réseaux officiels de renseignement ont été court-circuités aux Etats-Unis. Deux réseaux nouveaux furent créés, pour fournir au parti de la guerre les informations qu’il attendait ! s’est agi d’une part de l’Office of Special Plans, créé auprès du Pentagone et dirigé par Abram Shulsky, William J. Luti, et du Counter- Terrorism Evaluation Group, créé par Douglas Feith. Ces deux unités ont fourni directement leurs renseignements au vice-président Dick Cheney et à son directeur de cabinet, Lewis Libby. C’est là, avec des informations truquées servies par les agents irakiens d’Ahmed Chalabi, souvent réchauffées par les services de Tony Blair, que furent élaborés tous les mensonges « straussiens justifiant la guerre : présence d’armes de destruction massive en Irak, mobilisables en 45 minutes, contrat entre l’Irak et le Niger pour la fourniture d’uranium, liens entre Saddam Hussein et Al-Qaida. Tout se révéla faux sauf la guerre, qui fut lancée pour de vrai, au mépris de la Constitution américaine, des règles du droit international et de l’opinion mondiale.

Ce furent les services de Luti, inspirés par Douglas Feith et Lewis Libby, qui organisèrent toute propagande contre la France, y compris la fable suivant laquelle ce pays serait par nature « antisémite » et qu’y passer des vacances impliquerait un risque pour des touristes juifs américains.

Des actes antisémites ont certes été commis en France, et il faut les combattre sans relâche, mais leur source a plus été la politique provocatrice d’Ariel Sharon et son appui quasi-systématique par l’administration Bush, qu’une quelconque tradition française ou musulmane.

Présenter ce dossier et affirmer ce que nous disons n’est en aucun cas faire preuve d’anti-américanisme. Bien au contraire, c’est Dick Cheney et ses protégés néo-conservateurs qui trahissent l’Amérique des pères fondateurs, ce projet que les meilleurs Européens eurent d’y créer une République. De leur propre aveu, les néo-conservateurs ne pensent pas en termes République mais d’empire, dans la tradition romaine non américaine.

C’est Lyndon LaRouche qui représente la vraie Amérique, comme l’on en était, dit-on, conscient dans l’ambassade de France à Washington, à la fin années quatre-vingt-dix, et comme certains Français, constatant que la France a été attaquée par la même presse américaine qui s’en est prise à LaRouche, sont encore aujourd’hui, mais avec moins de courage, semble-t-il.

Ainsi la distorsion de Platon et des pères fondateurs par Leo Strauss et ses disciples, et leur application pratique de ces distorsions, ont un effet direct l’histoire. Car ce sont les idées qui marquent l’histoire. Platon, Leibniz, Franklin et le courant républicain s’opposent ainsi à Hobbes, Locke, Nietzsche et courant néo-conservateur traditionaliste qui, dès son existence se trouve menacée, se mue en fascisme.

Un cynisme politique, « par-delà le bien et mal », de même que la lâcheté de ceux qui tournent rond dans le bocal de leur système plutôt que prendre le risque d’en sortir, ont des effets directs l’histoire.

Nous pensons au contraire que la France, comme disait de Gaulle, est « une certaine idée » et qu’au moment des périls, cette idée prend force, car mémoire de notre histoire devient alors plus forte peur. Cette idée, qui a porté le vent d’Amérique qui doit être aujourd’hui revivifiée par lui, c’est-à-par ce que représente LaRouche, la vraie Amérique non celle, truquée, de l’administration Cheney, cette idée est plus forte que toutes les synarchies du monde ou que toutes les compromissions avec elles.

Pensant à notre combat, je pense à ce que Socrate affirmait avant de mourir : le bonheur qu’apporte la stimulation de la jeunesse et la joie de philosopher et combattre avec elle, pour lui donner un avenir. C’est cela qui est une culture de la vie, contre la culture traditionnelle à laquelle est attachée la synarchie, car c'est au contraire la culture des générations à naître. C’est cela qui est un vaccin d’immortalité, contre la synarchique d’être mortels.

Sources : Solidarité et progrès

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans Un pouvoir fasciste

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Comment les grandes dynasties financières se sont emparées de grandes banques nationales tel la Federal reserve Bank : <br />  <br /> http://www.michaeljournal.org/sign49.htm<br />  
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