Al Qaïda cherche à s'étendre au Moyen-Orient

Publié le par Adriana Evangelizt

Décodage des déclarations des services de renseignement israéliens dont on sait combien on peut leur faire confiance. On a vu pour les ADM de Saddam. Ils déclarent donc que "al- Qaïda cherchait à renforcer sa base au Moyen-Orient en envoyant un grand nombre de ses agents au Liban, en Syrie et en Egypte"... quand on sait qui est derrière Al Qaïda donc derrière le 11 septembre, déjà les choses apparaissent plus clairement. On commence à être rompu aux pratiques et manoeuvres des services secrets israéliens. Le fait qu'ils parlent de ces trois pays impliquent donc qu'il y a des attentats en préparation et quand on sait que le Mossad était impliqué dans voitures explosives au Liban, et de quoi ils sont capables, il faut donc s'attendre au pire. D'autant que par la voix d'Amos Yadlin, on apprend que "Des dizaines, sinon des centaines, d'agents d'Al-Qaïda sont arrivés au Liban. Ces agents sont entraînés et ils ont une connaissance du terrorisme. Selon nos estimations, le numéro deux de l'organisation, Ayman al-Zawahiri, a ordonné à ses agents de se répandre en Syrie, au Liban et en Egypte". Les choses sont claires selon leurs estimations. Comment pratiquent-ils leurs estimations ? Comment savent-ils que Zawahiri a ordonné à ses agents de se répandre dans ses trois pays ? Sont-ils en contact avec lui ? On connait les méthodes du Mossad. Ils recrutent des Arabes pour travailler pour eux, les Arabes ne sachant souvent pas qu'ils travaillent pour les services secrets israéliens. Mais chaque fois qu'ils mettent en garde contre des attentats et contre Al Qaïda, c'est qu'ils sont en train de préparer leurs crimes pour faire avancer le Sionisme. Le Mossad est le bras armé du haut Sionistan. Par la ruse et l'hypcrisie, tu vaincras... c'est leur devise. Et quand ils disent qu'il y en a en Palestine, le contraire nous aurait fort étonné. Des manoeuvriers, des manipulateurs et des criminels, rien de plus.

Al-Qaïda cherche à s'étendre au Moyen-Orient

JERUSALEM, 9 janvier (XINHUA) -- Les services de renseignement israéliens ont déclaré mardi que l'organisation terroriste al- Qaïda cherchait à renforcer sa base au Moyen-Orient en envoyant un grand nombre de ses agents au Liban, en Syrie et en Egypte.

Le chef du renseignement militaire israélien, le général Amos Yadlin, a révélé cette information lors d'une réunion de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense de la Knesset (Parlement israélien), a rapporté le journal local Yedioth Ahronot.

"Des dizaines, sinon des centaines, d'agents d'Al-Qaïda sont arrivés au Liban. Ces agents sont entraînés et ils ont une connaissance du terrorisme. Selon nos estimations, le numéro deux de l'organisation, Ayman al-Zawahiri, a ordonné à ses agents de se répandre en Syrie, au Liban et en Egypte", a déclaré M. Yadlin cité par le journal.

Il a mis en garde que les forces de maintien de la paix des Nations unies au Liban et les Occidentaux seraient les cibles les plus probable de ces agents, ajoutant qu'il y avait également une poignée d'agents d'Al-Qaïda dans la bande de Gaza tandis que quelques autres ont été arrêtés à Naplouse en Cisjordanie.

Concernant la crise sur le nucléaire iranien, M. Yadlin a indiqué que Téhéran ne cesserait pas son enrichissement d'uranium et qu'il utilisait l'ultimatum de 60 jours que lui a donné le Conseil de sécurité de l'ONU pour faire avancer son programme d'enrichissement d'uranium.

Le message que l'Iran veut envoyer à la communauté internationale est qu'elle doit cesser de lui demander l'arrêt de l'enrichissement parce qu'il est "trop tard", a-t-il ajouté.

Selon les estimations israéliennes, l'Iran sera capable de produire une bombe nucléaire au plus tôt d'ici la mi-2009, sauf obstacle technologique ou intervention étrangère.

Le chef du renseignement israélien a également relevé que le niveau d'alerte au sein de l'armée syrienne avait été rabaissé, accusant Damas de continuer à aider le Hezbollah libanais à refaire ses stocks d'armement.

Sources Xinhuanet

Posté par Adriana Evangelizt

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Alors que quatre ressortissants britanniques détenus à Guantanamo viennent d’être renvoyés au Royaume-Uni par la justice d’exception états-unienne, puis libérés par les tribunaux de Sa Majesté sans que soient retenus une quelconque charge à leur encontre, la BBC rediffuse depuis quelques jours un documentaire mettant en cause l’existence même d’Al Qaïda. Documentariste reconnu, Adam Curtis s’applique, dans une série de trois films d’une heure intitulée The Power of Nightmares : The Rise of Political Fear (Le Pouvoir des cauchemars : la montée de la peur), à démonter les mécanismes de construction de la psychose antiterroriste orchestrée par les gouvernements de George W. Bush et Tony Blair. Selon lui, l’idée d’une menace terroriste globale « est un fantasme qui a été exagéré et déformé par des hommes politiques. C’est un sombre mirage qui s’est diffusé sans être débattu auprès des gouvernements du monde entier, mais aussi les services de sécurité et les médias internationaux ». Le film montre qu’aucune preuve tangible est jamais venue crédibiliser l’existence d’un réseau terroriste islamiste unifié tel que défini par la Maison-Blanche ; et que les bases secrètes d’Oussama Ben Laden n’ont pas plus de réalité que les armes de destruction massive de Saddam Hussein. Pour son auteur, la rhétorique Al Qaïda est un artifice de communication, une manœuvre des néo-conservateurs pour tenter de construire de toute pièce un nouvel « Empire du Mal » après la chute de l’Union soviétique. 108 États ont déjà déclaré ne jamais avoir observé sur leur territoire quoi que ce soit qui valide l’existence d’« Al Qaïda » et ne pas se sentir concernés par cette prétendue menace planétaire.Alors que quatre ressortissants britanniques détenus à Guantanamo viennent d’être renvoyés au Royaume-Uni par la justice d’exception états-unienne, puis libérés par les tribunaux de Sa Majesté sans que soient retenus une quelconque charge à leur encontre, la BBC rediffuse depuis quelques jours un documentaire mettant en cause l’existence même d’Al Qaïda. Documentariste reconnu, Adam Curtis s’applique, dans une série de trois films d’une heure intitulée The Power of Nightmares : The Rise of Political Fear (Le Pouvoir des cauchemars : la montée de la peur), à démonter les mécanismes de construction de la psychose antiterroriste orchestrée par les gouvernements de George W. Bush et Tony Blair. Selon lui, l’idée d’une menace terroriste globale « est un fantasme qui a été exagéré et déformé par des hommes politiques. C’est un sombre mirage qui s’est diffusé sans être débattu auprès des gouvernements du monde entier, mais aussi les services de sécurité et les médias internationaux ». Le film montre qu’aucune preuve tangible est jamais venue crédibiliser l’existence d’un réseau terroriste islamiste unifié tel que défini par la Maison-Blanche ; et que les bases secrètes d’Oussama Ben Laden n’ont pas plus de réalité que les armes de destruction massive de Saddam Hussein. Pour son auteur, la rhétorique Al Qaïda est un artifice de communication, une manœuvre des néo-conservateurs pour tenter de construire de toute pièce un nouvel « Empire du Mal » après la chute de l’Union soviétique. 108 États ont déjà déclaré ne jamais avoir observé sur leur territoire quoi que ce soit qui valide l’existence d’« Al Qaïda » et ne pas se sentir concernés par cette prétendue menace planétaire.<br /> (Réseau Voltaire)
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