Les Anti Empire Américain attaqquent

Publié le par Adriana Evangelizt

Les Anti-Empire-Americain attaquent

Traduction de: "Thank you for not putting a bomb in your luggage"


MERCI DE NE PAS AVOIR MIS DE BOMBE DANS VOTRE VALISE

par William Blum



« Le président Bush a déclaré que les Etats-Unis sont toujours sous la menace d’un attentat et sera hyper-vigilant jusqu’aux présidentielles ». Jay Leno

Parallèlement à ses annonces de menaces d’attentats, Bush ne cesse de ressasser que sa guerre contre la terreur nous a davantage protégés, se vantant qu’il n’y a pas eu d’attentat terroriste en cinq ans depuis celui du 11 septembre 2001. Formidable ! Il n’y a pas eu d’attentat dans les cinq années qui ont précédé cette date non plus. Mais grâce à la Guerre contre la Terreur (c'est-à-dire les bombardements, l’invasion, l’occupation et les tortures en Afghanistan et en Irak), de nombreux groupes de terroristes anti-Américains se sont créés depuis ce jour historique. La toute dernière confirmation de cet événement, si besoin était, a été donnée par les conclusions, rendues publiques à la suite d’une fuite, d’un rapport du « National Intelligence Estimate », qui disait que «l’invasion américaine et l’occupation de l’Irak ont concouru à développer une nouvelle génération d’islamisme radical et … que la menace terroriste a augmenté depuis les attentats du 11 septembre».


Attentats contre les intérêts américains depuis le 11/9

Depuis la première frappe sur l’Afghanistan en octobre 2001, précisément, il y a eu des tas d’attentats terroristes contre les institutions américaines et les personnes au Moyen Orient, en Asie du Sud et dans le Pacifique, dont près d’une quinzaine au seul Pakistan ; des cibles militaires, diplomatiques, civiles, chrétiennes, et d’autres en relation avec les EU, dont les bombardements en octobre 2002 de deux night-clubs à Bali, Indonésie, qui ont causé la mort de 200 clients, presque tous citoyens américains, australiens ou britanniques, leurs alliés dans cette guerre; l’année suivante, il y a eu le pilonnage à Jakarta, en Indonésie, du Marriott hôtel, tenu par des Américains, et où avaient lieu les réceptions diplomatiques et les célébrations du 4 juillet, et, également, d’autres attentats épouvantables perpétrés ces dernières années contre les alliés des Etats-Unis, à Madrid, à Londres et ailleurs.


Pour les autorités américaines et britanniques, il est extrêmement difficile et périlleux d’admettre une quelconque corrélation entre leur politique étrangère et la montée du terrorisme. Un porte-parole du gouvernement Blair a déclaré récemment : « Al Qaida a commencé à tuer des civils innocents dans les années 90. Ils ont tué des civils musulmans avant même le 11 sept, et les attentats de NY et de Washington ont tué plus de 3000 personnes avant l’Irak. Laisser entendre qu’Al Qaida est poussé par un désaccord légitime sur la politique étrangère est une erreur ». Le vice-président Cheney a, à plusieurs reprises, également souligné que les terroristes visaient des cibles américaines avant même le 11-spt. L’ « argumentation » qui sous-tend cette théorie est curieuse ; C’est comme si ces honorables messieurs étaient convaincus qu’il n’y avait pas eu de politique étrangère occidentale au Moyen Orient avant le 11 sept. 2001. Mais, évidemment, même à notre époque, il y a eu des décennies d’actes de violence terribles, dont le renversement du gouvernement iranien en 1953, les bombardements répétés de la Lybie et de l’Irak, le sabordage d’un navire iranien et la destruction d’un avion de ligne iranien abattu en plein vol, le soutien rituel à Israël contre le peuple palestinien, et bien d’autres encore. On ne dira jamais assez et avec assez de force que le terrorisme est un acte politique, il sert à faire une déclaration politique, une déclaration qui, souvent, peut se résumer à un seul mot : « représailles » ; le terrorisme, c’est le recours de ceux qui ont des bombes mais pas de force aérienne.


Recrudescence du terrorisme


En 2004, un rapport («Structures du Terrorisme Mondial ») du département d’Etat américain sur les attentats terroristes à l’étranger indiquait que l’année 2003 avait connu les «incidents terroristes les plus importants» depuis 1985, date à laquelle le département a commencé à publier des statistiques, même si ces chiffres n’incluaient pas les attentats commis contre les troupes US en Irak par des insurgés, que l’administration Bush classe clairement dans la catégorie des « terroristes ». Quand le rapport de 2004 a établi qu’il y avait eu encore plus d’incidents, le Département d’Etat a annoncé qu’il renonçait à publier des statistiques annuelles.


Les présidents de la commission sur le 11 sept ont déclaré que l’enquête sur les pirates a révélé que l’orthodoxie religieuse n’était pas leur dénominateur commun puisque, apparemment, certains d’entre eux, fumaient et buvaient de l’alcool. D’autres avaient des aventures féminines. Ce qu’ils avaient en commun, c’était la haine politique américaine au Moyen- Orient. En s’identifiant au peuple palestinien, ils s’identifient à ceux qui luttent contre les régimes répressifs et dirigent leur haine plus particulièrement contre les Etats-Unis. Selon les enquêteurs, les relations à long terme entre les Etats-Unis et le monde islamique dépendent de la fin du conflit Israélo-palestinien et la présence des forces US au Moyen Orient est un facteur important qui motive les actions d’Al Qaïda.


Les gouvernements Bush et Blair refusent catégoriquement d’admettre qu’il y a un rapport entre le terrorisme et leur politique, mais ceux qui s’opposent à leurs guerres ne devraient jamais leur permettre d’esquiver la question. Voici quelques exemples récents de représailles :


Dans un article du New York Times sur le groupe britannique arrêté pour être soupçonné d’avoir l’intention de faire exploser différents avions à destination des Etats-Unis, un des hommes sur une vidéo de « martyr » déclare: « Si tu bombardes, tu seras bombardé ; si tu tues, tu seras tué » … Un des suspects affirme dans sa vidéo de « martyr » que c’est la guerre contre les musulmans en Irak et en Afghanistan qui l’avait poussé à agir. Il explique qu’il voulait se venger de la politique étrangère menée par les Etats-Unis et leurs complices, le Royaume Uni et les juifs.


Mais la guerre contre le terrorisme dépeint les terroristes uniquement comme des fous déraisonnables ou ceux qui haïssent la liberté, la démocratie et la culture occidentale, ou qui n’agissent ainsi que pour le plaisir de haïr l’Amérique, et donc, les Etats-Unis et le Royaume Uni recherchent des solutions militaires.


L’écrivain David Rees avait dit, il y a quelques années : « Rappelez-vous, quand il y avait un problème de drogue aux Etats-Unis et qu’il y a eu la « Guerre contre la drogue », est-ce qu’à l’heure actuelle on ne peut plus trouver de drogue ? Eh bien, la Guerre contre le Terrorisme, ce sera pareil ».


Les mythes de la guerre froide


Il est devenu courant chez ceux qui critiquent le mur qu’on est en train de construire aux Etats-Unis le long de la frontière mexicaine de le mettre en parallèle avec le Mur de Berlin. Et on oppose de la même façon ce dernier au mur en construction le long de la Palestine et sur son territoire. Tout comme il est d’usage de considérer que l’Holocauste est la norme qui sert à juger les carnages et autres atrocités, le mur de Berlin sert à comparer l’érection d’une barrière physique qui restreint la liberté de circulation d’une multitude de personnes. Le Mur est également présenté par les conservateurs comme le symbole de la cruauté et de l’échec du communisme. Mais quelle est en réalité l’histoire du mur de Berlin ?


Au cours des années 50, les acteurs américains de la guerre froide en Allemagne de l’Ouest ont mené une campagne de sabotage et de subversion contre l’Allemagne de l’Est visant à neutraliser le fonctionnement de l’économie et de la gestion du pays. La CIA et d’autres services secrets militaires américains recrutaient, équipaient, entraînaient et finançaient des activistes, des groupes ou des personnes isolées, de l’Ouest et de l’Est, pour leur faire commettre des actes qui allaient de la délinquance juvénile au terrorisme, tout était bon pour rendre la vie difficile aux Allemands de l’Est et faire fléchir leur soutien au gouvernement, tout était bon pour discréditer les «cocos ».


Et cette opération a été extraordinairement efficace. Les Etats-Unis et leurs agents employaient toutes sortes de méthodes (les explosions, le feu, les courts-circuits, etc..) pour saboter les centrales électriques, les chantiers navals, les canaux, les docks, les bâtiments publics, les stations essence, les transports publics, les ponts, etc. ; ils faisaient dérailler les trains de marchandises, blessant gravement les cheminots ; incendiaient 12 wagons et détruisaient les lances d’incendie des autres wagons, utilisaient des acides pour détraquer l’équipement indispensable dans les usines, mettaient du sable dans les turbines d’une usine pour paralyser l’usine, incendiaient une fabrique de tuiles ; prônaient les ralentissements dans les usines ; empoisonnaient 7000 vaches d’une coopérative laitière ; mettaient du savon dans le lait en poudre destiné aux enfants des écoles ; projetaient d’assassiner des dirigeants Est-allemands en leur offrant des cigarettes empoisonnées ; lançaient des boules puantes pour perturber les rencontres politiques (…), etc. etc.


Pendant toutes les années 50, les Allemands de l’est et les soviétiques ont inlassablement déposé des plaintes auprès des anciens alliés de l’Union Soviétique en Occident et des Nations Unies pour sabotage et espionnage, exigeant la fermeture de bureaux en Allemagne de l’Est qu’ils affirmaient être responsables de la situation, et dont ils avaient les noms et les adresses. Leurs plaintes sont tombées dans les oreilles de sourds. Et l’Allemagne de l’Est a, ainsi, été progressivement forcée de contrôler davantage l’entrée dans le pays.


Parallèlement, l’Occident diabolisait l’Est en lançant une campagne agressive pour recruter des diplômés et des ouvriers qualifiés est-allemands, éduqués aux frais du gouvernement communiste. Cette démarche a fini par créer une crise grave de production et de main d’œuvre à l’Est.


En août 1961, les Allemands de l’Est en ont eu assez. Ils ont commencé à construire leur mur de l’infamie. Celui-ci n’a pas été construit pour priver les citoyens de « vérité » et de « liberté » (avant le mur, beaucoup d’Allemands de l’est allaient travailler à l’ouest et rentraient le soir chez eux), mais dans l’atmosphère de la guerre froide, tous les moyens de gagner des points de propagande étaient exploités des deux côtés et c’est ainsi qu’est née la légende du Mur communiste du Mal.


L’« apaisement » est un autre mythe de la guerre froide remis récemment au goût du jour par l’administration Bush à la recherche d’arguments pour la guerre en Irak, et que plus de 30% d’Américains vont gober. A plus d’une occasion, notre vieil ami Rumsfeld a traité de « fascistes » les terroristes anti-américains et ceux qui résistent à l’occupation américaine, et qualifié les Démocrates et tous ceux qui détestent la guerre d’ «apaiseurs » ; vous savez, comme quand la Grande Bretagne a permis aux nazis d’engloutir les Tchèques dans l’espoir qu’Hitler ficherait alors la paix à l’Occident. L’analogie de l’apaisement est depuis longtemps un des leitmotivs des politiques américains, qui le ressortent quand cela les arrange. Eisenhower et Johnson, pour ne citer qu’eux, s’en sont tous deux servi.


Mais ce qui s’est passé à Munich ne relevait pas de l’ «apaisement » mais de la collusion. Une des qualités que l’Occident appréciait tant chez Adolf, c’était son anti-communisme fervent. La Grande Bretagne, les Etats-Unis et les autres états occidentaux comptaient sur les nazis pour regarder du côté de l’Est et mettre fin une bonne fois pour toutes à la menace que faisaient planer les bolcheviques sur Dieu, la famille et le capitalisme.


Si, pour Donald Rumsfeld, s’opposer à la guerre en Irak, équivaut moralement à « apaiser Hitler », pour Condolezza Rice, cela équivaut à la tolérance de l’esclavage dans l’Amérique du XIX° siècle.


Voici ce qu’elle a déclaré, au mieux de sa forme, dans le genre cas désespéré: « Je suis sûre qu’il y a des gens qui pensaient que c’était une erreur de persister à faire la guerre entre le Nord et le Sud et de soutenir que l’émancipation des esclaves perdurerait. Je suis sûre qu’il y avait des gens pour dire : pourquoi ne pas arrêter tout ça tout de suite, faire la paix avec le Sud, et laisser le Sud se charger des esclaves ? ».


Que résonnent la liberté et les caisses enregistreuses*


(NDLT : D’après« let freedom ring , tiré du texte « I have a dream », discours de MLK).

(United States of A vs Cuba)


Carlos M. Gutierrez, le ministre américain du commerce, suggère que les Cubains organisent un référendum qui serait supervisé par la communauté internationale pour décider s’ils préfèrent être gouvernés par des dictateurs ou vivre en démocratie.


Alors, à votre avis, que représente donc le mot « démocratie » pour Carlos M. Gutierrez, ancien PDG d’entreprise, qui aujourd’hui fait le tour du monde pour vanter les mérites de l’investissement des entreprises et des échanges commerciaux?


Peut-il s’imaginer une société « démocratique » qui ne soit pas dominée par les entreprises qui transforment tout ce qui existe en bien de consommation ? M. Gutierrez se soucie-t-il vraiment du fait que les Cubains aient leur mot à dire dans les décisions qui touchent leur quotidien ? Etant donné que de nombreuses décisions fondamentales qui touchent le quotidien des Américains ne sont pas prises dans les assemblées d’élus mais dans les conseils d’administration des entreprises, peut-il réellement affirmer que les Cubains ont moins le droit à la parole sur les décisions que les Américains ?


En Amérique on définit habituellement la démocratie en majorité en termes d’élections. Mais si nous acceptons cette définition simple, et simpliste, il n’en demeure pas moins que, contrairement à ce que croient Gutierrez et la plupart des Américains, les Cubains organisent régulièrement des élections. Ces consultations, qui élisent les membres des Assemblées Municipales, des Assemblées régionales et de l’Assemblée Nationale, respectent le suffrage universel et le secret du vote. Les candidats sont choisis par les citoyens, et non pas par le Parti Communiste, qui n’intervient à aucun moment du processus électoral. Chaque candidat a droit à la même couverture médiatique, qui consiste à publier sa biographie comportant ses qualités et son parcours personnel et à l’afficher dans des lieux très accessibles et très fréquentés dans la circonscription. Dans les Assemblées Municipales, il y a un conseiller pour 20 000 habitants. Les candidats doivent recueillir plus de 50% des voix pour être élus au premier tour, ou au deuxième tour. Les 609 membres de l’Assemblée Nationale élisent les 31 membres du Conseil d’Etat. Le président du Conseil d’Etat est le chef d’Etat et le chef du gouvernement. Fidel Castro est régulièrement choisi pour tenir cette position, probablement grâce à ses qualités exceptionnelles.


Je n’ai pas suffisamment de connaissances sur le mode de fonctionnement actuel du système électoral à Cuba pour en relever les défauts et les inconvénients, qui existent très probablement en pratique. Mais ce système peut-il être plus abrutissant pour l’intellect, l’esprit et l’idéalisme que le système électoral américain ? Depuis les conventions tape-à-l'œil et ruineuses où sont choisis les candidats, en passant par les campagnes interminables, ennuyeuses et injurieuses, jusqu’au fonctionnement de plus en plus contestable du vote et du comptage des voix, tout cela pour choisir entre deux candidats du patronat …les Cubains sont-ils prêts à cela ?


S’ils devaient mettre en place un système électoral où les candidats qui auraient le plus d’argent à dépenser seraient ceux qui auraient le plus de chances d’être élus, qu’est ce qui empêcherait la CIA de fournir les fonds en abondance pour faire gagner ses poulains ?


C’est contre cela que nous nous élevons


J’ai récemment entendu un agriculteur californien sur une radio publique nationale parler de l’apparition très inquiétante de la bactérie e.coli, dans les épinards. A un moment donné, il a dit « l’Amérique a les meilleurs produits agricoles du monde ».


Hum. Je me suis demandé comment on mesurait cela et si le gars avait réellement enquêté au niveau mondial sur le sujet et s’il pouvait donner des chiffres ou citer des sources crédibles. Cela m’a rappelé plusieurs interviews à la radio au cours desquelles je critiquais la politique étrangère des Etats-Unis (jusque là, rien d’étonnant), ce qui amenait un auditeur à me demander si je pouvais citer un pays meilleur. Chaque fois, je réponds : « meilleur? dans quel domaine? ».


“En tout”, me répond-on invariablement.


« Eh bien », dis-je « Si nous parlions de la sécu ? Il y a de nombreux pays qui assurent une couverture de santé à un nombre bien plus important de citoyens que les Etats-Unis et à un coût bien inférieur, voire, parfois, gratuitement, comme à Cuba. Et il en va de même pour les études universitaires ». En général, la discussion s’arrête là.


Quelles conditions, je me demande, devraient être réunies pour que ces gens-là renoncent à l’histoire d’amour qu’ils ont eue, enfant, avec ce lieu magique qu’on appelle « Amérique » ? Il m’est arrivé de demander à ceux qui refusent littéralement toute critique de la politique étrangère américaine : « Que doivent faire les Etats-Unis pour que vous ne leur fassiez plus confiance ? Qu’est-ce qui, pour vous serait inacceptable? ». Je n’ai encore pas eu de réponse à cette question. Je soupçonne que c’est parce que la personne craint que, quelle que soit la réponse, je lui ferai remarquer que cela s’est déjà produit.


L’écrivain Michael Lewis a dit : « Une des caractéristiques qui distingue les Américains des autres peuples est cette naïveté qui consiste à penser que tout étranger avec une once de jugeote aimerait être citoyen américain … le nationaliste japonais le plus fanatique n’imagine pas une seconde que les autres peuples aspirent à devenir japonais. Pareil pour les Français.


Mais ne désespérez pas, les gars. Comme je l’ai dit précédemment, je pense que les personnes dont je parle ici ne représentent, (très) approximativement, pas plus de 15% de la population. Alors, je propose qu’on s’intéresse aux autres, celles avec qui on peut communiquer, et ces trois dernières années, nous avons effectivement communiqué avec un nombre incalculable d’entre elles.


Ca y est, on a trouvé! Il y a une différence de conception en matière de politique étrangère entre les Démocrates et des Républicains.


Ca vient de sortir ! Les Républicains de la Chambre des Représentants ont présenté un projet de loi qui obligerait ceux qui manifestent contre la guerre à se faire stériliser. Les Démocrates refusent de passer leur tour sur ce coup là. Nancy Pelosi, porte-parole des Démocrates à la Chambre (qui, récemment, à l’occasion du discours de Chavez aux Nations Unies, l’a traité de « voyou ») prévient que son parti ne soutiendra ce projet de loi que s’il comprend le droit à faire appel.

NB: J'ai rajouté certains titres pour donner qqs repères supplémentaires.



par William Blum. Visit his website: www.killinghope.org.
He can be reached at: bblum6@aol.com.

www.dissidentvoice.org; September 28, 2006

Sources : EMCEE BLOG

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans Un pouvoir fasciste

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