Henry Kissinger: le risque d'un conflit nucléaire est le problème N°1

Henry Kissinger veut faire croire que le principal problème mondial n'est pas l'expansion américaine mais la prolifération nucléaire et le risque d'un conflit nucléaire. Henry Kissinger travaille pour la Bête. En parlant de prolifération nucléaire, il sous-entend l'Iran qui ne représente aucun danger dans l'immédiat. Cet individu fait partie de ce ceux qui ont signé le pacte et qui toute leur vie oeuvreront pour le sionisme et l'établissement d'Israël sans la Palestine. Les gens comme lui font partie de groupes de réflexions qui sous couvert de réfléchir sur les problèmes du monde, réfléchissent en fait sur le moyen de parvenir à leur but. Ce sont de dangereux "séducteurs" dont la parole, malheureusement compte. Ceci dit, il peut toujours faire chanter ses sirènes à Poutine, il nous étonnerait fort que le Loup des Steppes dorme... il a le troisième oeil bien développé. Et il sait reconnaître les menteurs et les traitres...

Henry Kissinger: le risque d'un conflit nucléaire

 est le problème numéro un

MOSCOU, 13 juillet - RIA Novosti. Selon le coprésident américain du groupe de travail "Russia-USA: a look into the future", l'ex-secrétaire d'Etat américain Henry Kissinger, le principal problème mondial consiste non pas dans l'expansion américaine, mais dans la possibilité d'un conflit nucléaire.

C'est précisément ce qu'il a déclaré vendredi à l'issue de la rencontre des membres du groupe avec le président russe Vladimir Poutine dans sa résidence de Novo-Ogarevo.

A la question de savoir ce qu'il pensait des tentatives d'expansion mondiale entreprises par les Etats-Unis, M. Kissinger a répondu: "Je ne pense pas que la position américaine soit vraiment comme ça".

"A mon avis, le principal problème n'est pas l'expansion, mais le risque d'un conflit nucléaire et de la prolifération nucléaire", a souligné l'ancien secrétaire d'Etat américain avant d'ajouter que ses collègues russes et américains partageaient son avis.

M. Kissinger a hautement apprécié l'accueil chaleureux réservé aux membres américains du groupe en Russie.

"Nous avons examiné en toute franchise de nombreux problèmes qui présentent de l'intérêt pour nos Etats et pour d'autres pays du monde", a-t-il confié aux journalistes.

"Nos discussions reposaient sur la compréhension du fait que la Russie et les Etats-Unis ne doivent pas s'en tenir à des points de vue différents, mais arrêter une approche commune des problèmes", a indiqué le diplomate.

Selon lui, la prochaine rencontre du groupe de travail aura lieu à la fin de l'année à Washington.

Sources Ria Novosti

Posté par Adriana Evangelizt