Crise boursière: les Européens mettent la pression sur les Etats-Unis
A mourir de rire, si l'on puit dire... parce que quand on les voit faire, tous les grands pontes de la finance ou politiques, on a davantage envie de les rosser qu'autre chose. C'est vous dire ce qu'ils nous inspirent. Les Européens sont inquiets tout d'un coup et mettent la pression sur les Etats-Unis ! Pauvre d'eux ! Depuis combien de temps, les Etats-Unis vivent-ils aux crochets de la planète ? Voilà la bonne question. Nous avons posé hier un article qui explique que chaque jour la dette des Etats-Unis augmente d'un milliard 400 millions de dollars mais à combien se monte-t-elle dans le passif ? Les USA sont LE plus gros débiteur du monde. Et personne n'a stoppé cette prodigieuse gabegie ! La hausse du stock de la dette entre 1964 et 2002, est passée de 10 000 milliards à 30 000 milliards de dollars. Voir ICI... même à la France, ils doivent de l'argent. Ils achètent mais ne paient pas. Imaginez que vous faisiez pareil, que se passerait-il ? Lire, Vivre à crédit, le crédo des Américains. Alors maintenant, les Européens s'affolent mais c'est trop tard. Comme d'habitude. Ils recommencent la même histoire qu'avec Hitler. Au lieu d'affronter les problèmes de face, ON ATTEND. ON se dit, CA VA S'ARRANGER. Ils sont minables. On est gouverné par des soit-disant élites dont le niveau mental est plus bas que le nôtre. Ils sont là, parait-il, pour protéger les peuples mais, en fait, ils les acculent à la misère et à la guerre. Et le pire est à venir dans ces trente-six prochains mois car tant que Bush et sa clique de néfastes sont au pouvoir, la troisième guerre mondiale nous pend au nez. Pour se sortir de cette crise, ils ne vont rien trouver de mieux que d'attaquer l'Iran, par exemple... et Poutine dont la flotte bien armée se trouve en Méditerranée, ne laissera pas faire. Tout comme il ne laissera pas faire pour le Kosovo. Et il aura raison. C'est le seul leader osant s'imposer et non se prostituer à Bush et sa cohorte. Il a prévenu qu'il utiliserait l'arme nucléaire de façon préventive et il le fera. Entendant bien prévenir par là que ce n'est pas l'apanage des seuls Etats-Unis et de leur satellite Israël. Dans le fond, il est presque souhaitable que cette conflagration ait lieu car cela mettra définitivement les criminels de guerre hors d'état de nuire et la colère de la planète fera le reste. Le grand nettoyage. Cela devient nécessaire.
Crise boursière:
les Européens mettent la pression sur les Etats-Unis
Les gouvernements européens ont ouvertement exprimé leurs doutes mardi sur l'efficacité du plan de relance du président George W. Bush et sa capacité à éviter une récession économique aux Etats-Unis, alors que les Bourses continuent de chuter.
La ministre française de l'Economie, Christine Lagarde, a estimé que le président Bush allait devoir "aller plus loin" en expliquant "comment" il allait injecter les milliards de dollars annoncés dans l'économie américaine.
"Pour l'instant c'est assez vague", a-t-elle estimé sur la radio française Europe 1, ajoutant: "Il faut qu'on comprenne dans quels canaux ça va passer."
Le commissaire européen aux affaires économiques et monétaires, Joaquin Almunia, a appelé mardi les Etats-Unis à réduire leurs déficits, celui du budget et celui des comptes courants, estimant qu'ils étaient la cause "principale" de la crise financière actuelle.
"On ne parle pas d'une récession mondiale. On parle du risque d'une récession américaine", avait-il auparavant affirmé.
"La question est de savoir comment les Etats-Unis vont éviter une récession. Les autorités américaines ont annoncé des mesures", a relevé M. Almunia, "j'espère qu'ils vont être capables d'éviter une récession".
Mardi, les Bourses européennes continuaient à reculer, dans le sillage des places asiatiques, mais moins fortement que la veille où elles ont connu un lundi noir avec leurs plus fortes baisses en une journée depuis le 11 septembre 2001. En cause: les craintes d'un ralentissement économique américain prononcé.
Les investisseurs restent sceptiques après l'annonce vendredi par le président Bush d'un plan de relance de plus de 140 milliards de dollars, sous formes d'allègements fiscaux.
Encore imprécis, ce plan cherche à relancer la demande mais ne s'adresse pas aux risques financiers, à l'origine de la crise des prêts hypothécaires à risques aux Etats-Unis, soulignent nombre d'économistes.
Au plus haut niveau, les critiques ont commencé à se multiplier contre la politique économique américaine, qui n'a pas su enrayer la crise.
Dès lundi, le président brésilien Luis Inacio Lula da Silva a pressé les Etats-Unis de prendre leurs responsabilités en évitant une propagation de la crise financière à l'Amérique latine et à l'Afrique.
En Europe, le discours est peu éloigné. "Tout le monde est inquiet et surtout se pose des questions sur ce qui va se passer aux Etats-Unis, en se demandant si les interventions du gouvernement seront ou non efficaces", a dit mardi le ministre néerlandais des Finances Wouter Bos.
Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), le Français Dominique Strauss-Kahn a même jugé lundi que les Bourses n'avaient "pas apprécié" le plan de relance Bush.
"Dans une certaine mesure, c'était un peu prévisible mais le président Bush a voulu tenter cette solution-là", a ajouté l'ancien ministre des Finances français, dans un coup de canif inhabituel pour un dirigeant du FMI à l'égard des Etats-Unis. Mardi, il était à Bruxelles pour rencontrer les ministres européens.
En Europe même, les dirigeants n'envisagent pas de plan de relance similaire à celui des Etats-Unis, en arguant de fondamentaux économiques plus solides. Mais des appels en ce sens commencent à se faire entendre.
"La zone euro doit se protéger contre les risques de récession", ont affirmé les députés européens socialistes dans un communiqué mardi. "L'Union a besoin d'une réaction coordonnée des ministres des Finances de la zone euro pour relancer la demande intérieure", a ajouté la présidente socialiste de la commission des affaires économiques du parlement, Pervenche Béres.
Sources AFP
Posté par Adriana Evangelizt