Blair planifie une nouvelle vie avec Bush

Publié le par Adriana Evangelizt

Blair planifie une nouvelle vie avec Bush

après son départ du 10 Downing Street



par Tim Walker

chronique "Mandrake", Sunday Telegraph

Traduit par Jean-François Goulon

Webmaster du site Questions critiques

Si le Premier ministre [britannique] avait besoin de se relever de l'humiliation surprenante que lui a infligée le Président Bush — qui s'est adressé à lui par un " Yo, Blair ! " (entre autres choses...) — alors, il est peut-être sur le point de se voir plus qu'indemnisé.


Mandrake est informé de source sûre que Tony Blair — son esprit est actuellement concentré sur quoi faire après qu'il aura cédé la charge de Premier ministre — vient juste de tenir des "discussions formelles" pour rejoindre la société d'investissements privés, opaque mais très rémunératrice, le Carlyle Group, qui a des liens étroits à la fois avec le président des Etats-Unis et avec son père.

"Tony a rencontré des responsables du groupe et ils sont allés jusqu'à parler salaire", dit un proche collaborateur du Premier ministre. "Un des sujets de préoccupation était que John Major était impliqué jusqu'à récemment dans Carlyle et que Tony ne voulait pas être vu comme acceptant un rôle dans la société qui serait inférieur à celui de son prédécesseur. La vérité, c'est que les grosses-légumes de Carlyle opèrent toutes en loups solitaires".

Si Blair accepte le job après son départ de Downing Street — dans "un an et des brouettes", si nous devons en croire ce qu'Alastair Campbell a déclaré au Spectator — les sourcils se lèveront. Le gouvernement Blair a été remarquablement gentil avec Carlyle : la vente qu'elle lui a consentie en 2002 des 31% que l'Etat britannique possédait dans QinetiQ, l'ex-entreprise de laboratoire du Ministère de la Défense, s'est avérée être une gigantesque mine d'or. Carlyle a négocié sa mise à 42,4 millions de livres (env. 28 M€). Lorsque QinetiQ a été introduite en Bourse en début d'année, sa part valait £380m (env. 250 M€).

[Interrogé,] un porte-parole du Premier ministre a dit qu'il n'était pas "au courant" s'il y avait des discussions avec Carlyle. Mais Dan Briody, l'auteur du best-seller The Iron Triangle: Inside the Secret World of the Carlyle Group [Le Triangle de Fer : À l'Intérieur du Monde Secret du Groupe Carlyle] m'a dit qu'il avait entendu dire que Blair avait l'intention de rejoindre Carlyle. "Cela signifie qu'il travaillera avec le Président Bush dont on murmure l'arrivée dans la société en 2009. Carlyle a été appelé le Club des Ex-Présidents parce qu'il se plaît à employer des anciens dirigeants du monde et à utiliser leurs contacts. Le groupe a déjà dû affronter la controverse, mais il ne s'agit pas de conspirations planétaires — il s'agit d'argent. Ne comptez pas découvrir combien gagnent les gens importants qu'il emploie. C'est une société privée."



Sources : Questions critiques

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans BUSH BLAIR

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B
les gangsters de la politique internationale occidentale au service de l'internationale néocons ou du lobby sioniste international se recycle tous soit dans des entreprises d'armement comme carlyle soit dans les états majors de la presse sioniste/néocons internationale !!!<br />  <br /> Ainsi alors que tony, le caniche de bush souhaite se recycler dans carlyle, son ex-homonyme espagnol Aznar (de triste mémoire) s'est recycler dans le groupe de presse de murdoch qui assura le soutien médiatique de Bair durant sa campagne électorale : comme quoi tous ces politiciens gangsters qui font fi du droit international, se tiennent comme "cul et chemise" et ils ont, bien sûr, les mêmes Big Boss, qui n'ont rien avoir avec les peuples manipulés qui les élisent  !!!
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