Cheney est dominé par sa femme

Publié le par Adriana Evangelizt

Un intéressant portrait psychologique du diabolique Cheney. En fait, il fait subir à Bush ce que lui subit avec sa femme Lynn. Le bouquet ! C'est elle qui le manipule pour sa propre ambition et de surcroit, il est le larbin de beaucoup d'autres dont Bush père, Rumsfeld, les gros pontes pétrolifères mais surtout de sa femme. Il lui est très docile. A tous les coups, il doit être du style sado-maso et Lynn lui bande peut-être les yeux, l'attache, le fouette, etc... quand on lit l'article, on a cette pensée. D'ailleurs, regardez le, là sur la photo ci-dessous, il est complètement hypnotisé ! La scène se passe le jour de l'investiture de Bush, elle doit lui dire "On a gagné mon doudou ! Ce soir t'aura droit au fouet !"

Littéralement, il bade ! Et c'est ça qui joue les gros bras au sommet du monde !

LaRouche : le profil psychologique décrit

par deux médecins de Cheney est “extrêmement vraisemblable”

12 juillet (LPAC) - Le site Internet Truthout.com vient de publier un long article en deux parties sous le titre « La psychologie de Dick Cheney » écrit par deux médecins : John P. Briggs, un psychothérapeute à la retraite et J.P. Briggs II, un spécialiste des processus créateurs, professeur à la Western Connecticut State University. LaRouche relève que le profil dressé lui semble extrêmement convaincant et coïncide avec son propre jugement et celui d’autres concernant l’état mental de Cheney. Poursuivant son analyse, LaRouche affirme que ce qui est publié est essentiel pour comprendre tant le président américain que le zombie qui le contrôle. Il estime que les gens accepteront le constat des auteurs concernant le contrôle « type Charlie McCarthy » [célèbre marionnette, avec Mortimer Snerd, du ventriloque américain Edgar Bergen] qu’exerce Lynne Cheney sur son mari, et souligne que les auteurs ont raison d’affirmer que c’est elle qui domine leur relation, et pas lui. Comme le dit LaRouche : « si j’avais une femme comme ça, ou si une femme de ce genre me contrôlait, j’aurais honte de moi. Lynne Cheney devrait être renvoyée en usine pour un défaut de production, sa moralité »

Le profil que présentent les auteurs, distillé à partir d’entretiens avec les anciennes copines et copains de Lynne Cheney quand elle fréquentait les bancs de la faculté, aunsi qu’à partir de témoignages écrits de l’époque, révèle que depuis que Lynne Anne Vincent (Lynne Cheney) a subtilisé Dick des mains d’une de ses amies de longue date, il est totalement dépendant d’elle. C’est son ambition à elle qui le domine, une ambition contre laquelle il se rebelle en fuguant, laissant tomber ses études à Yale, buvant et finissant au poste de police pour conduite en état d’intoxication alcoolique et prenant un travail de simple poseur de câbles téléphoniques. Comme l’écrivent les auteurs, « il ne trouve pas son propre moteur, c’est Lynne qui possède le moteur. » C’est seulement quand elle lui donne « l’ultimatum final - de réussir dans le monde ou de se casser - par ses propres moyens », que tout change.

Pour les auteurs, Cheney surmonte « sa passivité en laissant venir l’activité et la motivation depuis une force extérieure. Quand les vents fiers de Lynne soufflent dans ses voiles flegmatiques, il découvre qu’il peut bouger. »

A partir de là, toute la carrière de Cheney a été défini par la mise en application de son « modèle de relation de dépendance envers Lynne, comparé à des relations avec des supérieurs politiques. » C’est un larbin, « un bon à tout faire au service d’un patron puissant - qu’il s’agisse de Rumsfeld, du dirigeant de la minorité républicaine Bob Michel, de George Bush Sr., des gros cadres d’Halliburton, ou encore de George W. Bush - loyal jusqu’à l’esclavage et prêt à faire tout ce qu’on lui demande. D’abord il devient utile, ensuite indispensable. »

Toutes les pathologies de Cheney sont l’expression de son ambivalence conflictuelle : « Est-ce que j’existe comme une identité solitaire séparée ou est-ce que mon identité est entièrement dépendante d’un attachement à une personne plus forte ? »

De cela découle la fixation de Cheney pour l’autorité, le secret, l’angoisse et l’agression, le mensonge, la simulation, le comportement immoral, l’impulsivité, et les tentatives d’échapper à sa condition de subordonné. En ce qui concerne ses relations avec le Président, les auteurs sont convaincus que Bush est « une petite frappe émotionnelle performante » et que Cheney « s’est construit avec le Président une relation qui n’est qu’une variation de celle qu’il entretient avec Lynne. »

Cheney habite un monde opérationnel. « Évidemment, le diable est dans les détails ; mais c’est exactement là que Cheney réside, il ressemble à un diable. A un niveau plus subtile, Cheney a façonné sa relation comme vassal de Bush, dans un rapport de dépendance mutuelle ». « Dans le cas de Cheney, sa passivité sous-jacente, sa relation de dépendance et ses désirs autoritaires mènent à une toile d’actions secrètes, à des rationalisations digne de jury vendus et à des stratagèmes malins. » « Le père de Bush désirait un régent, à la place il a trouvé un homme qui a aggravé les dysfonctionnements de son fils. »

A nous de montrer le facteur fondamental sur lequel les auteurs font malheureusement l’impasse : celui de la faction néo-impériale de la finance Anglo-Hollandaise.

Sources : Solidarité et Progrès

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans CHENEY-RUMSFELD

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