DOUTES SUR LE 11 SEPTEMBRE

Publié le par Adriana Evangelizt

Le 11 septembre est un gros coup monté. "ILS" avaient plastiqué les tours de haut en bas. Une équipe spéciale. Ils avaient même plastiqué un autre immeuble pas très loin. Et ils ont fait ça pendant la nuit... pendant plusieurs nuits.  Le pauvre Bush est complètement sous contrôle et n'y voit que du feu. Incroyable.

Nouveaux doutes sur le 11 septembre

PAR JOAQUIN ORAMAS



AUX critiques qui pleuvent sur l’Administration de George W. Bush pour son manque de prévision et son inaction face à la menace réelle de l’ouragan Katrina s’ajoutent des révélations qui font planer de nouveaux doutes sur les attentats contre les Tours jumelles de New York et le Pentagone, qui firent il y a tout juste quatre ans des milliers de victimes.

Le 11 septembre 2001, un hélicoptère de la police de New York survola le World Trade Center deux minutes après l’écroulement de la première des tours, dans un épisode qui constitue le pire acte de terrorisme de l’histoire des Etats-Unis.

La seconde s’effondrerait vingt et une minutes plus tard. «Une quinzaine des étages supérieurs sont en flammes. C’est inévitable», a dit le pilote par radio.

Quelques semaines après un autre pilote commentait: «Je ne crois pas qu’elle tienne longtemps. J’évacuerais tout le monde dans la zone du second édifice.»

La police de New York reçut l’appel, mais pas les responsables des incendies et des sauvetages. En conséquence, des douzaines de policiers et plusieurs pompiers moururent dans l’écroulement de la seconde tour.

Le même jour, la communication fut impossible entre les 50 corps de sécurité de la ville de Washington, de la localité de Maryland, dans l’état de Virginie, et le corps de pompiers du comté d’Arlington, qui commandait l’opération de sauvetage au Pentagone.

Ces erreurs reviennent frapper le public nord-américain quatre ans après la tragédie, suite à la diffusion de milliers de pages de transcriptions d’enregistrements de communications de survivants et de victimes.

Ces émouvants documents ont été remis par le Département des pompiers de New York, après que le quotidien The New York Times eût porté plainte contre le gouvernement local en vertu de la Loi sur la liberté d’information.

Pourquoi une faille aussi flagrante des systèmes de communication dans un pays reconnu pour ses avancées technologiques?

La communication par radio est essentielle pour les agences de sécurité publique, y compris celles chargées de la «première réponse», c’est-à-dire celles qui se portent immédiatement au secours de victimes de ministres, par exemple les pompiers, la police et les services d’ambulances.

La technologie de radio est conçue pour que deux appareils ou plus interconnectés fonctionnent dans un spectre de fréquence déterminé. Le 11 septembre 2001 il n’y avait pas de spectre assigné aux agences de sécurité publique. Et aujourd’hui il n’y en a pas non plus.

Il y eut par conséquent très peu d’échanges entre le département de la police et celui des pompiers de New York, bien qu’après le premier attentat contre les Tours jumelles, en 1993, un Bureau des gestions d’urgence ait été créée dans la métropole.

Récemment est paru un document sur les événements du 11 septembre émis par le professeur d’économie Morgan Reynolds, qui fut Chef du Travail pendant le premier mandat du président Bush, et dans lequel ce dernier rejette la version officielle sur l’effondrement du Word Trade Center (WTC). Il estime plus probable qu’une démolition contrôlée ait détruit les tours et l’édifice adjacent (le No. 7).

Reynolds, maintenant professeur émérite de l’Université du Texas, affirme que les conclusions scientifiques concernant l’écroulement des Tours jumelles pourraient constituer la clé du mystérieux complot qui se cache derrière la tragédie du 11 septembre. Il pense aussi qu’il est pratiquement impossible que 19 terroristes arabes aient pu se moquer des puissants militaires des Etats-Unis.

Dans ses révélations, Reynolds signale qu’il a été difficile de réfuter la version officielle selon laquelle le carburant en feu des avions avait provoqué l’effondrement des tours car, malgré le désaccord de nombreux chercheurs, la plupart des preuves avaient été escamotées par l’Agence fédérale de gestion des urgences. Le personnel de l’entité a rapidement enlevé les structures d’acier avant qu’elles aient pu être analysées. Et bien que le code pénal exige que les preuves de la scène d’un crime soient conservées pour être analysées, l’agence les a détruites ou les a embarquées à l’étranger avant une enquête rigoureuse.

Le professeur énonce quelques faits qui montrent les brèches de la version du carburant en flammes:

Il existe des photos qui montrent des gens se déplaçant dans le trou de la Tour Nord, où brûlaient supposément 10 000 gallons de combustible de l’avion de passagers.

Lorsque le choc a eu lieu contre la Tour Sud, la plus grande partie des flammes de la Tour Nord avaient déjà disparu, après n’avoir brûlé que durant 16 minutes. Ce qui les rendait relativement faciles à endiguer et à contrôler sans un effondrement total.

Le feu ne s’est pas propagé avec le temps, probablement parce que le combustible s’est rapidement épuisé, ce qui indique que sans engins explosifs additionnels il aurait été facile de contrôler les incendies. A ce propos, le rapport assure que les pompiers du Département des Incendies de New York ont reçu du gouvernement un ordre strict de silence, afin de ne pas parler des explosions qu’ils ont entendues, senties et vues.

Le rapport défectueux de la Commission d’enquête sur le 11 septembre reconnaît qu’aucun des chefs (des pompiers) présents ne croit possible un effondrement total des deux tours. Jamais auparavant des édifices dotés d’une structure d’acier ne s’étaient effondrés à cause d’un incendie. D’autre part, l’immeuble WTC- 7, qui n’a reçu aucun impact d’avion et n’a souffert que de deux faibles incendies aux 7e et 12e étages (il en comportait 47), s’est écroulé en moins de dix secondes. Les WTC-5 et WTC-6 ont enregistré de violents incendies mais sont restés debout, bien que leurs barres d’acier aient été beaucoup plus fines que les antérieures.

Il estime également impossible que les flammes du carburant destiné au jet (kérosène) élèvent la température de l’acier jusqu’au point de fusion.

Le professeur Reynolds conclut en affirmant que la version du gouvernement ne présente aucun reste important des quatre avions utilisés pour les attaques terroristes. La photo connue du lieu de chute du Vol 93 en Pennsylvanie ne montre pas le fuselage, ni aucun moteur, ni rien qui puisse être reconnu comme un reste d’avion: seul un trou fumant dans le sol. On n’a pas permis aux photographes de s’approcher du trou, fait-il remarquer finalement.

Sources : GRANMA

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans 11 SEPTEMBRE

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