ATTENTA DU 11 SEPTEMBRE : QUESTIONS SANS REPONSE

Publié le par Adriana Evangelizt

Eh oui, cet énigmatique 11 septembre... il va l'être moins dans quelques temps. La Vérité finit toujours par se savoir. Elle se sait déjà. Voilà un des terroristes mais il n'était pas dans l'avion, lui... il a même le parachute pour sauter.

ATTENTATS DU 11 SEPTEMBRE : BEAUCOUP DE QUESTIONS SANS RÉPONSE

 

Au cours de discussions avec divers pilotes et experts de la sécurité à propos des attentats meurtriers du 11 septembre, les questions suivantes ont été soulevées :

1) Comment se fait-il qu’une opération de cette envergure et de ce degré de sophistication, impliquant une centaine de personnes, n’ait pas été repérée ? S’agit-il d’une énorme « défaillance du renseignement » ou ces manquements ont-ils été organisés ?

2) Comment les pirates de l’air ont-ils réussi à neutraliser l’ensemble du personnel de bord sans qu’un seul pilote ait pu taper dans le transpondeur le code à quatre chiffres ou même dire quelques mots à la radio pour informer l’Agence fédérale de l’aviation (FAA) du détournement ? Si l’on admet que les pirates aient pu y parvenir dans un cas ou deux, il est surprenant, voire inconcevable, qu’ils aient réussi dans les quatre cas.

On peut se demander si les pirates de l’air n’ont pas dès le départ pris le contrôle des commandes des avions. Dans ce cas, les pirates de l’air étaient au courant des procédures utilisées par l’équipage de bord, qui sont précises et compliquées, celles-ci étant en outre différentes selon les lignes aériennes. De nombreux pilotes maintiennent qu’un terroriste ayant eu une formation minimum aurait pu conduire ces manoeuvres. Néanmoins, quelles sont les chances d’un tel succès pour quatre amateurs ? L’ancien commandant de l’Armée de l’air israélienne, le général de division Eiten Ben Eliahu, a déclaré à l’occasion d’une interview à la radio israélienne qu’il pensait que les pilotes avaient sans doute reçu une formation américaine. Par ailleurs, le fait que les attaques devaient se produire par temps clair signifie que plusieurs dates ont dû être prévues pour l’opération, ce qui ajoute un autre niveau de complexité.

3) Comment se fait-il qu’aucune procédure d’urgence n’ait fonctionné ? Plusieurs pilotes ont soulevé ce point, tout comme le journaliste spécialiste des questions militaires au quotidien israélien Ha’aretz dans un article récent.

Les quatre avions ont tous emprunté une route très différente par rapport à leur plan de vol. Selon les procédures de la FAA, dès que l’on s’aperçoit qu’un avion est dérouté du couloir qui lui a été assigné, l’Agence tente immédiatement de contacter les pilotes. Si elle n’y parvient pas, l’alerte est déclenchée et l’ensemble de l’espace aérien dans la région est mis sous surveillance. Entre-temps, on prend des mesures pour déterminer si l’avion a été détourné ou s’il a des problèmes mécaniques. A cause de l’importance du facteur temps, ces procédures d’urgence sont très bien définies et rodées de façon à pouvoir être mises en oeuvre le plus rapidement possible. Dans certains cas, notamment de détournement, on fait systématiquement appel aux ressources militaires américaines.

On dit que les transpondeurs des avions ont été désactivés, action qui aurait dû suffire en soi à déclencher les procédures d’urgence. Et même avec le transpondeur coupé, l’avion ne disparaît pas des radars qui continuent à suivre sa trajectoire. Le vol 11 d’American Airlines et le vol 175 de United Airlines, les deux qui ont percuté le World Trade Center, ont décollé de l’aéroport de Boston respectivement à 7 h 59 et 7 h 58. La première tour a été percutée 46 minutes plus tard et la deuxième 66 minutes plus tard, après un important détour par rapport au plan de vol initial. En situation d’alerte, c’est un laps de temps considérable.

Pour ce qui est de l’attaque contre le Pentagone, les faits apparaissent encore plus surprenants. Le vol 77 d’American Airlines est parti de l’aéroport Dulles de Washington en direction de Los Angeles. Il s’est dirigé vers l’ouest pendant 40 minutes avant de faire demi-tour pour retourner sur Washington, frappant le Pentagone 40 minutes plus tard, à 9 h 40.

Quant au quatrième, le vol 93 d’United Airlines, il a décollé de l’aéroport de Newark (New Jersey), en direction de San Francisco, a fait demi-tour au-dessus de Cleveland (Ohio) et s’est écrasé en Pennsylvanie.

La séquence exacte des événements pendant ces deux heures n’a toujours pas été rendue publique, malgré certaines fuites dans la presse. Autre sujet sensible, le rôle de la NORAD (North American Aerospace Defense Command), qui est chargée d’assurer la défense de l’espace aérien des Etats-Unis et du Canada contre des attaques de missiles, d’avions ou de véhicules aérospatiaux. Elle dispose de ses propres radars militaires, systèmes SAM, chasseurs F-15 et F-16 ainsi que de chasseurs canadiens CF-18.

Bien que les responsables de la NORAD disent ne pas avoir eu le temps de réagir, cela semble impossible. Dans les régions de vol en question, il y a de nombreuses bases aériennes pouvant déployer des chasseurs et s’approcher en trois minutes d’un avion ciblé. C’est encore plus le cas autour de Washington, où se trouve la célèbre base aérienne Langley, proche du siège de la CIA où sont stationnés des F-15, les meilleurs intercepteurs au monde. Si une procédure d’alerte avait été activée dans les quatre cas, on aurait décidé de l’éventuel déploiement d’avions militaires, ne serait-ce que pour assurer la sécurité aérienne.

Dans le cas de l’appareil qui s’est abattu sur le Pentagone, il a volé en direction de la capitale pendant 40 minutes après avoir été détourné, et cela alors que les attentats du World Trade Center étaient déjà connus. Cela laissait bien assez de temps non seulement pour déployer des avions militaires mais aussi pour déclencher les plans d’urgence visant à assurer la sécurité du Président et de la capitale. De même, on aurait eu le temps de décider s’il fallait abattre l’avion ou pas. Cette réponse tardive est si inquiétante que la question a été posée le 13 septembre au chef d’Etat-major des trois armées, le général Richard Myers, lors d’une audition au Sénat. Il a donné une réponse évasive. Ainsi, apparemment, trois procédures d’urgence ont failli - celles de la FAA et de la NORAD et les plans d’urgence pour assurer la sécurité du Président.

On ne saurait expliquer ces échecs par la confusion produite par une attaque inattendue mais plutôt par un sabotage à l’intérieur du système, dans le cadre d’une attaque coordonnée contre les Etats-Unis.

Sources : SOLIDARITE ET PROGRES

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans 11 SEPTEMBRE

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B
Texte écrit le 19 septembre 2001 ! Vigilants les larouchiens méchants !<br /> <br /> Tout cloche dans cette affaire. Il a dû y avoir détournement électronique. Certains avions avaient de vrais passagers, comme les vol 93 et 75, mais d'autres non, comme les vols 11 et 77 (pas prévus au décollage). Certaines listes de passagers étaient fictives, prévues dans le cadre d'un exercice grandeur nature, ou furent données à la presse par quelques taupes haut placées.<br /> <br /> Les pirates étaient incapables de manoeuvres compliquées, notamment au Pentagone. Mais il n'y a pas de trace concrète de piratage. Les témoignages de la commission officielle sont de deuxième main. Il n'y a pas d'enregistrement de ces conversations, ou alors sur répondeur pour dire qu'il y avait un petit problème dans le vol 93, ou que telle personne s'apprêtait à prendre un avion. Comme cet indien du soit-disant vol 11, Vamsikrishna, probablement tué par des agents secrets et dont la copine s'est bizarrement suicidée deux mois plus tard.<br /> <br /> A défaut d’images au Pentagone, de boîtes noires donnant des données matérielles, de la conservation des conversations dans les cockpits, de toute trace enregistrée d’appels de détresse de la part des pilotes, il reste des témoignages à partir de ces coups de téléphones. Peut-on les croire ?<br /> <br /> - Première chose : le problème de la possibilité technique que des appels aient pu être donnés à haute altitude avec des téléphones portables est un problème de taille. Donc soit les appels étaient faux, soit les avions ont volé moins haut que prévu. Il reste aussi la possibilité que des appels aient pu être donnés via les téléphones incorporés aux sièges.<br /> <br /> - Mais deuxième chose : la commission officielle n’a pas pu consulter le moindre enrgistrement de conversations. Une recherche “recording” ou “recordings” dans un moteur permettant de consulter le rapport officiel<br /> http://demos.vivisimo.com/query?input-form=simple&v%3Asources=911&v%3Aproject=911&query=recording&x=0&y=0<br /> montre en effet qu’il n’y a pas eu de traces d’enregistrement de ces conversations. Les “enregistrements” consultés concernent les trajectoires. Pour le vol 11 la conversation entre Sweeney et Woodward na pas été enregistrée (“not taped”). Une phrase en notes permet au premier abord de penser que des événements s’étant produits dans la cabine du vol 77 ont été enregistrés : “On events in the cabin, see FAA recording, Indianapolis Air Traffic Control Center, position HNN R, Sept. 11, 2001” (note 53, p.454). Mais le paragraphe correspondant à la note 54 indique que l’Indianapolis Air Traffic Control Center était incapable de contacter l’avion (http://www.9-11commission.gov/report/911Report_Ch1.htm). L’ensemble des dires est donc basé sur des interviews, et la commission ne semble parler de “témoignages de première main” (firsthand accounts), d’ailleurs anonymes, que dans le cas où il est dit qu’aucune personne n’a signalé de poignardage et de menace à la bombe en première classe, alors que d’autres témoignages font mention de couteaux et de personnes regroupées à l’arrière - sans doute les témoignages récoltés par le FBI auprès de Theodore Olson et Ronaldet Nancy May). Il n’est donc pas exclu que ces derniers témoignages de seconde main soient faux. Par ailleurs, le pilote aurait mentionné un “détournement” (ou un incident électronique ?), mais hélas, la source, sans doute un supposé témoignage puisqu’il ne subsiste aucune trace de communication du pilote avec l’extérieur, n’est pas précisée...<br /> <br /> Enfin, le seul enregistreur de voix de cockpit au sujet duquel le FBI et le NTSB auraient effectué une retranscription pour la commission, ne laisse entendre que des bruits.<br /> Ce qui parait vraiment dommage pour un avion où l’on a semble-t-il un vaste corpus de conversations.<br /> <br /> En l'état actuel des choses, l'examen des notes de bas de page de la commission Kean ne permet pas de faire le distingo entre les renseignements obtenus à partir de l'enquête du FBI les 11 et 12 septembre fondée sur des "interviews de personnes ayant reçu des appels" (et non sur l'enregistrement de la conversation) et ce que la commission aurait vérifié plus tard par elle-même (note 80, page 456).<br /> <br /> Par exemple pour ce qui est de vérifier l’histoire des bandanas rouges portés par les pirates, la commission ne mentoinne pas le nom des témoins. Or, jusqu’à preuve du contraire, seul un témoignage le mentionnait. Celui de Jeremy Glick, lequel aurait eu plusieurs personnes au bout du fil pendant plus de vingt minutes (une durée très longue pour un coup de fil à haute altitude, pour peu que la communication ait pu s’établir) : sa femme, sa belle-mère, son beau-père (voir les différents récits dans le Pittsburgh Post-Gazette). Au fur et à mesure, ceux-ci auraient parlé de bandanas rouges portés sur la tête puis de suspects de type arabe ou iranien. Peut-on les croire ? Peut-on croire sa femme Lyzbeth qui rappelle ce détail des bandanas quelque trois ans plus tard dans un documentaire ?<br /> <br /> Toute est possible. On rappellera que deux des pirates auraient été formés à Pensacola, selon Newsweek du 15 septembre 2001. Ces militaires étaient-ils chargés de simuler un piratage ? Il n'est peut-être pas exclu que de faux pirates aient réalisé une simulation dans le care d’un eercice avant que le vol 93 ne se pose peut-être à Cleveland, volant suffisamment bas pour permettre aux conversations téléphoniques de fonctionner longtemps.<br /> Mais d’un autre côté, il n'est pas exclu que toute cette histoire ait été inventée après que ce vol eût été abattu, et que certains détails croustillants fruits d’une certaine imagination aient été retenus, à la manière de ce qui se passe dans le roman d'Alain Gerber "une rumeur d'éléphant". Une enquete erait à faire sur la famille Glick.<br /> Il existe certes beaucoup de Glick aux USA, dont trois parmi les victimes du 11/9, et un certain Jeremy Glick s'affiche ouvertement comme anti-Bush, mais on peut lire aussi ce portrait d'une certaine Caroline Glick tout récemment saluée et récompensée par un prix parmi les milieux sionistes américains :<br /> <br /> "Caroline Glick was an officer in the IDF, a Coordinator of Negotiations with the Palestinian Authority, was Assistant Foreign Policy Advisor to Prime Minister Benjamin Netanyahu. Her writings have appeared in the Wall Street Journal, National Review, Boston Globe, Chicago Sun Times, Washington Times, Ma’ariv and many more. She has appeared on MSNBC, Fox and all of Israel’s major networks. She was the first Israeli journalist reporting from the front lines in Iraq. She is a senior researcher at IDF Operational Theory Research Institute and a lecturer in tactical warfare at IDF’s Command and Staff College and is a senior fellow at the Center for Security Policy in Washington, DC. She made aliyah in 1991 after graduating from Columbia and Harvard’s Kennedy School of Government. In 2003, Ma’ariv named her the most prominent woman in Israel. "<br /> <br /> Si l'un des proches de Jeremy était très sioniste, comme Caroline Glick, elle a pu rajouter des détails destinés à frapper les esprits comme cette histoire de bandanas ou d'origine ethnique, histoire qui aurait grossi au fur et à mesure et aurait été crue par son épouse.<br /> J'ai assisté à ce genre de comportement : je me souviens d'un responsable de synagogue dire le lendemain d'un mini-incendie de ne pas trop tarder car il avait vu traîner des jeunes banlieusards avec un drapeau palestinien autour du cou ! Alors même que le commissariat était juste à côté ! A la sortie, on ne voyait rien…<br /> <br /> Conclusion : une véritable enquête est à faire sur l’origine des supposés des coups de fils et sur la façon dont les familles, certainement sous le choc, ont pu retenir ces coups de fils. Par souci de vérification zététique, nous demandons la déclassification des interviews récoltées à chaud par le FBI pour recouper les renseignements et vérifier s’il s’en dégage quelque chose de clair.<br /> <br />
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