Des policiers irakiens au centre d'un viol présumé

Publié le par Adriana Evangelizt

On sait très bien comment se comportent les grosses brutes de Maliki. Non seulement ils violent les femmes mais aussi les hommes.  Quand on voit Maliki jouer les pucelles effarouchées et que l'on sait comment ont été traités tant Saddam Hussein que ses comparses, on n'a qu'une chose à dire... Maliki n'est qu'un traître à sa patrie et un vendu à l'ennemi. Qu'il en profite bien car ses heures sont comptées. Bush ne va pas tarder à lui coller sur le dos le fiasco de l'Irak. Il faut bien trouver un coupable et pourquoi pas la marionnette sise par ses soins ?

Des policiers irakiens au centre

 d'une affaire de viol présumé

Sabrin al-Janabi clame avoir été violée par deux policiers irakiens. Une affaire que le Premier ministre Nouri al-Maliki s'est empressé de démentir.
 

Le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki a vivement rejeté ce mardi des accusations sunnites de viol visant deux policiers, assurant qu'elles avaient pour but de "semer la confusion" sur le plan de sécurité, avant d'être contesté par un conseiller du vice-président sunnite.

L'affaire a éclaté lundi soir, lorsque la Fondation sunnite, chargée de la gestion des cultes sunnites, a accusé "des membres des forces de maintien de l'ordre", majoritairement chiites en Irak, d'avoir violé Sabrin al-Janabi, à al-Amil (sud-ouest de Bagdad).

Face à ces allégations susceptibles d'attiser encore des haines confessionnelles qui ont déjà coûté la vie à des milliers de chiites et sunnites, le Premier ministre chiite a promptement réagi, annonçant dès lundi soir la création d'une commission d'enquête et assurant que si l'affaire était confirmée, ses auteurs seraient sévèrement punis. Le viol, qui est ici considéré comme un grand déshonneur, est passible de la peine de mort.

Mais, dès mardi matin, Nouri al-Maliki a contesté les accusations également proférées sur la chaîne satellitaire qatariote Al-Jazira par une femme voilée se présentant comme la victime. "L'enquête médicale a démontré que Sabrin al-Janabi n'a pas du tout été abusée sexuellement", a indiqué un communiqué de ses services. Elle "était sous le coup de trois mandats d'arrêt et après ses fausses accusations, le Premier ministre a ordonné que les honnêtes officiers mis en cause soient félicités", ajoute le texte.

Ce faisant -et illustrant l'absence d'unité au plus haut niveau de l'Etat en Irak- un conseiller du vice-président sunnite Tarek al-Hachémi a contesté la version du chef du gouvernement. Ainsi, selon Omar al-Jibouri, la victime présumée, arrêtée dimanche matin par des "forces de maintien de l'ordre irakiennes" a été libérée par des soldats américains, avant d'être admise à l'hôpital Ibn Sina, sous contrôle de l'armée américaine, qui a établi "un rapport qui confirme les accusations". Le conseiller al-Jibouri a ajouté qu'une commission médicale irakienne, réexaminait mardi le dossier.

Sources 7 sur 7 be

Posté par Adriana Evangelizt

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