Attentats manqués en GB: première inculpation d'un des huit suspects

Publié le par Adriana Evangelizt

On peut dire qu'à Londres, ils tiennent le pompom pour prendre les gens pour des imbéciles. On se souvient du dernier pseudo attentats où l'on nous avait sorti "le truc liquide" qui devait exploser on ne sait par quelle opération du Saint-Esprit. Et là, c'est la conspirations des toubibs. En Autralie, ils ont donc arrêté vendredi cinq médecins originaires d'Inde comme ceux d'Angleterre et les éléments de preuve sont... des ordinateurs qu'ils ont saisi. Donc après les billets d'avion avec un aller simple, il faut aussi éviter d'avoir un ordinateur. Ils sont tellement coupable que sur cinq, quatre ont déjà été relâchés. Le coup de filet australien est donc un gros plouff !

Revenons en Angleterre... il faut d'abord noter que dans un premier article, on nous a dit que les deux types de la Cherokee étaient d'origine "asiatiques"... ce qui nous a fait penser qu'ils devaient ressembler à des Chinois. Mais l'Asie, évidemment c'est grand. Dans ce même article, on nous a précisé que le conducteur s'était emparé d'un bidon d'essence qu'il avait déversé sous la voiture pour y mettre le feu. Dans la nouvelle version, il s'est arrosé d'essence et s'est enflammé. Pour quelqu'un qui veut commettre un attentat, quelle drôle d'idée !!

Ils ont donc arrêtés 7 personnes "en lien avec les attentats" mais, nous précise-t-on, ils demeurent en détention dans l'attente d'une décision sur leur éventuelle inculpation. Ce qui signifie qu'ils ne sont coupables de rien du tout. Bilal Abdullah, le médecin irakien, était le passager de la cherokee qui s'est encastrée dans le terminal de Glasgow. La directrice de la seection antiterroriste du parquet dit "J'ai pris la décision qu'il y avait suffisamment d'éléments (à charge) et donc j'ai autorisé l'inculpation de Bilal Abdulla". Quels éléments à charge ? Dans l'immédiat, on n'en a aucun. Le seul tort de Bilal Abdulla, c'est d'être Irakien, à n'en pas douter.

Le 1er juillet, on a pu lire "Plusieurs experts britanniques du renseignement ont estimé que ces attentats manqués portaient la marque d'Al-Qaïda avec la coordination de plusieurs attaques, une tactique également utilisée en Irak." Depuis le départ, tout a été monté en épingle dans un but précis. Faire porter le chapeau à l'Iran. La seule chose que l'on peut dire, à l'heure actuelle, c'est que les deux Mercédès trouvées n'ont absolument aucun lien avec les deux passagers de la Cherokee. Mais il leur fallait des coupables quitte à leur faire avouer n'importe quoi sous la torture. Les deux types arrêtés ne sont pas les conducteurs des Mercédès. Or, ces deux véhicules ont bien été garées par quelqu'un. Et mal garées de surcroît pour qu'on les trouve plus facilement. Tout ça, sent la mise en scène. Et nous pensons fortement que ce sont les services secrets qui sont en cause. D'autant que dans un livre on apprend que le Mossad et le MI6 se livrent une guerre acharnée... les coupables, c'est plutôt de ce côté qu'il faut les chercher.

Attentats manqués en GB: première inculpation d'un des huit suspects

L'un des huit suspects interpellés après les attentats manqués de Londres et Glasgow, le médecin irakien Bilal Abdulla, a été inculpé vendredi soir pour avoir "comploté en vue de mener des explosions", a annoncé Scotland Yard.

Cette inculpation, la première depuis le début de l'enquête, porte aussi bien sur les attentats manqués de Londres (où deux voitures piégées avaient été retrouvées le 29 juin) que de Glasgow le lendemain, selon le parquet.

M. Abdulla sera présenté samedi matin devant un tribunal pénal du centre de Londres, a précisé le parquet. Il risque la prison à vie.

Bilal Abdulla, 27 ans, était le passager de la Jeep qui s'est encastrée le 30 juin dans le terminal de l'aéroport de Glasgow. Interpellé sur les lieux de l'attentat, il a depuis été transféré au commissariat de Paddington Green à Londres pour y être interrogé.

Susan Hemming, la directrice de la section antiterroriste du parquet, a indiqué que "d'autres personnes arrêtées par la police en lien avec les attentats demeurent en détention, dans l'attente d'une décision sur leur éventuelle inculpation".

"J'ai pris la décision qu'il y avait suffisamment d'éléments (à charge) et donc j'ai autorisé l'inculpation de Bilal Abdulla", a-t-elle expliqué.

Le Premier ministre Gordon Brown avait avancé dans la matinée que l'enquête sur les attentats, marquée aussi vendredi par l'interrogatoire de cinq médecins et la saisie de matériel en Australie, avait permis de mettre la main sur les principaux suspects.

"A ma connaissance, nous sommes presque remontés jusqu'au noyau de cette cellule" terroriste, a affirmé M. Brown à la BBC.

Huit suspects ont été appréhendés dans le cadre de l'enquête: sept en Grande-Bretagne et un huitième, un Indien, interpellé à l'aéroport de Brisbane, dans l'est de l'Australie.

Londres s'apprêtait à célébrer samedi dans la sobriété le deuxième anniversaire des attentats du 7 juillet 2005, qui avaient fait 56 morts, dont les quatre kamikazes, et 700 blessés dans les transports en commun de la capitale.

Survivants et proches des victimes devaient se réunir à la gare de King's Cross à 08h50 locales (07h50 GMT), à l'heure où la première des quatre bombes avait explosé il y a deux ans. Pour respecter le souhait des familles, il n'y aura ni minute de silence nationale ni événement public d'envergure.

En Australie, la police a interrogé vendredi cinq médecins étrangers, la plupart indiens et ayant déjà travaillé pour le système de santé britannique publique (NHS), après avoir saisi des éléments de preuve, notamment des ordinateurs, en lien avec l'enquête.

Ces médecins n'ont fait l'objet d'aucune poursuite, quatre d'entre eux ayant déjà été relâchés, a précisé le préfet de la police fédérale australienne Mick Keelty. Un cinquième médecin était encore interrogé dans l'Etat de Nouvelle-Galles du Sud (sud-est).

La plupart des saisies effectuées en Australie concernent des ordinateurs et des disques durs. "Nous travaillons sur du matériel de haute technologie, des dossiers informatiques, ce qui prend du temps, en particulier s'ils sont dans une langue étrangère", a déclaré le préfet de police.

Le chef de la justice australienne Philip Ruddock a insisté sur le fait que les médecins n'étaient pas soupçonnés d'appartenance à une cellule terroriste. "Il s'agit de personnes qui se connaissent et c'est ce qui a provoqué ce supplément d'enquête", a-t-il expliqué.

Sources AFP

 

 

 

Attentats manqués en Grande-Bretagne: 5 médecins interrogés à Sydney

 

La police australienne interrogeait cinq médecins étrangers après avoir saisi des éléments de preuve, notamment des ordinateurs, dans le cadre de l'enquête sur les attentats manqués de Londres et Glasgow (Ecosse), ont indiqué vendredi les autorités.

"Il s'agit de médecins immigrés, de nationalité et d'historique semblables aux autres médecins qui sont interrogés", a indiqué le préfet de police australien Mick Keelty, précisant qu'aucun des hommes n'avait été arrêté.

"Il ne s'agit pas d'une enquête sur des médecins à proprement dit, il s'agit d'une enquête en soutien à la police de Londres", a ajouté le préfet, précisant que les interrogatoires avaient lieu dans l'Etat d'Australie-Occidentale et en Nouvelle-Galles du Sud (sud-est).

Des éléments de preuve, comme des ordinateurs, ont été saisis dans plusieurs endroits, dont des hôpitaux. "Nous travaillons sur du matériel de haute technologie, des dossiers informatiques, ce qui prend du temps, en particulier s'ils sont dans une lanque étrangère", a ajouté le préfet de police.

Lundi soir, un médecin indien avait déjà été arrêté à l'aéroport international de Brisbane (est) tandis qu'il s'apprêtait à s'envoler pour l'Inde.

Par ailleurs, l'Indien arrêté pour avoir jeté une voiture-bélier contre le terminal de l'aéroport de Glasgow (Ecosse) avait dit à sa famille travailler à "un projet confidentiel de grande ampleur", croit savoir vendredi le Times of India.

Kafeel Ahmed, un Indien de 27 ans originaire de Bangalore (Inde), est soigné pour blessures graves dans un hôpital britannique. Il conduisait la voiture-bélier lancée le 30 juin sur une entrée du terminal de Glasgow. Il a été vu s'aspergeant d'essence avant d'être interpellé et a été grièvement brûlé.

Kafeel Ahmed est ingénieur, et non médecin comme initialement indiqué, et possède un doctorat britannique d'ingénieur de l'aéronautique, selon le Times of India, qui cite des sources non identifiées.

Il avait dit à sa famille, avant de quitter Bangalore en mai, qu'il travaillait à "un projet confidentiel de grande ampleur" pour lequel il devait "présenter un grand nombre de documents à différents endroits", ajoute le quotidien.

"Il s'agit du réchauffement climatique. Je ne peux pas en révéler les détails... Différentes personnes venant de divers pays sont impliqués. Le projet doit être lancé au Royaume-Uni", avait-il ajouté, selon le journal, qui cite la famille.

Il avait téléphoné pour la dernière fois à sa famille le 30 juin, jour de l'attentat de Glasgow, disant à sa mère et sa soeur que sa dernière présentation avait échoué et leur demandant de "prier" pour lui, ajoute le quotidien.

Le Times confirme qu'il est le frère aîné de Sabeel Ahmed, un médecin également gardé à vue dans le cadre de l'enquête sur les attentats manqués de Londres et Glasgow.

Les frères Ahmed sont des cousins d'un troisième Indien gardé à vue, Mohammed Haneef, arrêté lundi soir en Australie tandis qu'il voulait s'envoler pour l'Inde, ajoute le Times of India, qui cite des sources familiales.

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

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