D'Alema : l'exécution de Saddam Hussein serait "inacceptable"

Publié le par Adriana Evangelizt

Il y en a quand même une qui ose dire quelque chose... l'italien d'Alema. Que ce soit pour le massacre qui se perpètre en Palestine ou pour la mort de Saddam Hussein, Douste-Blazy nous fait honte. Vraiment. Quand on voit Douste-Blazy, sans rire, on se dit que l'on pourrait faire aussi bien que lui mais surtout mieux. C'est vous dire. Mais de qui se fout-on ? Et qui nous représente ? Ce sont les questions que nous nous posons chaque jour. On est en train de courir à une catastrophe planétaire parce que tout le monde s'aplatit devant l'axe sionisto-bush et pas un seul chef d'Etat ne se rebiffe à part... Hugo Chavez et Mahmoud Ahmadinejad. C'est quand même triste. Le fameux "plus jamais ça" recommence de plus belle mais personne ne tire des leçons de la dernière guerre et de grâce à qui -surtout- elle est arrivée. Incroyable. Et pourtant, c'est exactement la même chose, le même schéma qui se reproduit.

D'Alema: l'exécution de Saddam Hussein serait "inacceptable"

 

L'exécution de Saddam Hussein serait "inacceptable", pour une raison de principe et parce qu'elle pourrait conduire l'Irak "vers une véritable guerre civile", a déclaré lundi à  Paris le chef de la diplomatie italienne Massimo D'Alema.

"Tuer Saddam serait une erreur", a dit le ministre italien lors d'une conférence de presse avec son homologue français Philippe Douste-Blazy, au lendemain de la condamnation à mort de l'ex-dictateur irakien.

"L'application de la condamnation à mort est inacceptable pour deux raisons. La première raison de principe, car l'Europe est opposée à la peine de mort et se bat pour qu'elle soit bannie partout dans le monde", a-t-il dit.

"En second lieu, dans la situation difficile et dramatique de l'Irak, l'exécution de Saddam Hussein pourrait ultérieurement mener le pays vers une véritable guerre civile", a-t-il ajouté.

Selon Massimo d'Alema, la communauté internationale devait demander aux autorités irakiennes de ne pas exécuter l'ex-homme fort de l'Irak.

L'Union européenne "prêche pour l'abolition universelle de la peine de mort", a de son côté rappelé M. Douste-Blazy.

Le chef de la diplomatie française a souhaité que les pays européens se concertent "très rapidement" afin de "définir les modalités pour faire connaître cette position aux autorités de Bagdad".

Sources : Cyberpresse

Posté par Adriana Evangelizt



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